• Newsletter de la Vigie N°10

    C’est la dixième Newsletter « la Vigie de Vélizy », merci à toutes celles et ceux qui ont fait de bons retours sur cette « feuille de chou », cela fait chaud au cœur.

    (pour ceux qui ont raté les numéros précédents, ils seront bientôt disponibles sur le blog de la section)

     

    Pour ce N°10, on ne va pas se lamenter sur nos espaces de travail « frigo » (15° pour usiner du powerpoint et de l’excell… on est pas loin du droit de retrait…), les collègues qui partent vers d’autres horizons et qui fatalement répercutent leur boulot « à droite et à gauche » (c’est nous !), les incertitudes sur le devenir de notre service et de notre activité….

     

    Trois sujets pour cette vigie : -40 % de CO² à l’horizon 2030 (la fin d’un monde), le salaire des cadres (ou la rengaine du « panous, panous »), Open space (la panacée).

     

    Bonne lecture, si vous aimez, FAITES SUIVRE.

     

    Pollution automobile : le Parlement européen sur une ligne dure

    Les Echos, Derek PerrotteJulien Dupont-calbo Le 03/10 à 16:29Mis à jour à 17:48

    Nous sommes à la fin d’un monde…Par contre si on aborde ce changement radical avec les méthodes sociales de l’ancien monde….

    L’entreprise va devoir changer ou disparaître, la CFDT a des propositions à faire pour aborder ce nouveau défi, encore faut-il que certains sortent de leurs dogmatismes. Nous avons demandé à la Direction Centrale d’engager dans les plus brefs délais un comité paritaire stratégique.

     

    Les eurodéputés ont adopté mercredi un objectif de réduction de 40 % d'ici 2030 des émissions de CO2 des véhicules neufs. Une voiture neuve sur cinq doit être électrique dès 2025. L'industrie dénonce des objectifs irréalistes.

    L'intense lobbying des constructeurs automobiles contre des objectifs qu'ils jugent « irréalistes » n'aura pas entamé la détermination des députés européens. Mercredi, en plénière à Strasbourg, ils ont adopté à une confortable majorité (349 pour, 239 contre, 41 abstentions) un objectif de réduction des émissions de CO2 des nouveaux véhicules légers, et des camionnettes, de 40 % à l'horizon 2030. Certes, c'est un peu moins que  les 45 % proposés par la commission transport de l'hémicycle ou que les 50 % réclamés par les ONG et les écologistes.

    Urgence climatique

    Mais, trois ans après le dieselgate et sous la pression croissante de l'opinion, c'est bien plus que l'objectif de 30 % avancé par la Commission dans sa proposition initiale. « Ce vote démontre que les mentalités évoluent, au sein même d'un hémicycle dominé par les conservateurs : enfin, l'urgence climatique est prise en compte et la santé des Européens passe avant les préoccupations économiques de court terme ! », s'est félicitée la socialiste Christine Revault d'Allonnes au sortir du vote. Autre élément clé, les eurodéputés poussent les constructeurs à un effort rapide en confirmant le principe d'un objectif intermédiaire à atteindre dès 2025, avec une barre fixée à 20 %.

    À lire aussi

    Enfin, ultime pilule à avaler pour l'industrie, le Parlement européen trace la voie d'une électrification rapide du parc, avec des objectifs de 20 % de voitures à émission zéro dans les ventes d'ici 2025 et 35 % d'ici 2030, le tout assorti de pénalités financières qui faisaient défaut dans la proposition originale. L'eurodéputée PPE (droite) Françoise Grossetête regrette toutefois que le texte ne s'écarte pas plus de « l'écran de fumée » du tout électrique, pour favoriser aussi d'autres alternatives aux moteurs à combustion, comme l'hydrogène et les hybrides rechargeables. Selon elle, « il n'y a pas de solution miracle, seul un mélange d'alternatives peut favoriser la voie vers une mobilité plus propre. »

    Le rôle clé de l'Allemagne

    Au Mondial de Paris, les regards étaient tournés vers Strasbourg. « Si l'Union européenne veut baisser les émissions CO2, très bien. Mais l'électrique aujourd'hui, c'est comme le bio, c'est plus cher et c'est le monopole technologique de l'Asie. Il faut être honnête », affirme Carlos Tavares, le président du directoire de PSA. Surtout focalisée sur les objectifs de 2020-21 (95 grammes de CO2 par véhicule par kilomètre), la filière n'est pas étonnée par le vote des députés. Elle mise sur un lobbying auprès des Etats pour faire évoluer les choses.

    Une prise d'otage

    De fait, le dossier passe maintenant dans les mains du Conseil, où les ministres de l'Industrie de l'UE doivent arrêter leur position le 9 octobre, avant un trilogue final entre institutions européennes espéré d'ici la fin de l'année. Une large majorité d'Etats membres, dont la France, s'est positionnée en faveur d'un objectif de moins 40 % d'émissions en 2030. Mais  l'Allemagne, après avoir déjà pesé sur la proposition initiale de la Commission, résiste , suivie par quelques pays de l'Est.

    « L'Europe ne peut pas laisser l'Allemagne prendre tout le continent en otage pour lui faire payer l'échec de sa stratégie diesel », insiste l'ONG Transport & Environnement. « Dans tous les cas, il faut un compromis sur le sujet d'ici fin mars, avant la fin de la législature, souffle Erik Jonnaert, le secrétaire général de l'Acea, le lobby européen de l'automobile. Sinon, tout sera repoussé en 2020, et il ne restera que cinq ans avant 2025. C'est un délai trop court pour l'industrie ».

     

     

    Les salaires des cadres enregistrent leur plus forte hausse depuis six ans :

    Article les Echos du 3/9/18

    Bon…  je l’ai déjà faite mais elle est toujours rigolote !!

     

    Ils ont augmenté de 2,7 % sur un an au premier semestre 2018, selon le baromètre publié lundi par Expectra, filiale du groupe Randstad.

    Si le pouvoir d'achat des ménages a été quelque peu malmené au premier semestre, du fait principalement des réformes engagées par le gouvernement et du  rebond de l'inflation , en termes de salaires, les cadres ne s'en sont pas trop mal sortis. C'est pour le moins ce qui ressort du baromètre publié ce lundi par Expectra, filiale du groupe.

    Selon ces résultats - basés sur les revenus réels extraits de plus de 77.000 fiches de paie - les salaires des cadres ont en effet augmenté de 2,7 % au premier semestre 2018 par rapport à la même période de l'année précédente. Non seulement ils ont enregistré un rythme plus soutenu que les années précédentes mais, surtout, il s'agit de la plus forte hausse depuis six ans, selon les experts d'Expectra.

    Alors qu'il s'agit de la huitième année consécutive de hausse, la progression de la première moitié de 2018  confirme le redressement amorcé en 2015 (1,2 % cette année-là, puis 1,7 % en 2016 et 2017), après plusieurs années d'augmentations nettement plus timides et en deçà de la barre des 1 %. Pour le directeur général d'Expectra, ce bond en 2018 s'explique par le « dynamisme soutenu de l'économie française » l'année précédente.

    Tous les secteurs concernés

    Christophe Bougeard relève aussi une « tendance marquée des entreprises à privilégier les hausses de salaires individuelles » et constate une « guerre des talents », en particulier autour des profils numériques.

    Dans le détail, quatre métiers affichent des augmentations supérieures à 8 % dans l'échantillon étudié : chef de projet web marketing (+9,5 %), responsable des études (+8,6 %), ingénieur BTP (+8,5 %) et ingénieur de maintenance (+8,1 %).

    A l'échelle des secteurs, la hausse est « très homogène », relève la synthèse de l'enquête, « autour de 2,6 % ». A l'exception du BTP, qui se démarque avec la progression moyenne la plus élevée en 2018 (4,2 %). Secteur pour lequel il s'agit de la « plus forte évolution enregistrée sur les cinq dernières années », précise le baromètre.

    Toutes filières confondues, le salaire médian brut annuel des cadres (la limite à laquelle la moitié gagne plus, l'autre moins) se situe à 44.720 euros en 2018.

     

    Open offices make people talk less and email more :
    Article de X - Source : BBC CAPITAL - Publié le 18/07/2018

     

    Une fois n’est pas coutume une communication en anglais…. Rassurez-vous vous allez tout comprendre, comme quoi, vous êtes bon en anglais ?!

    Ah… les open space, une fois que PSA sera complètement pourvu, on s’apercevra que c’est pas si terrible que ça……

     

    Modern workplaces were designed to make it easier to communicate. But new research finds they stifle face-to-face interactions – exactly the opposite of their intended purpose.
    Open-plan offices have taken off because of a desire to increase interaction and collaboration among workers. But an innovative new study has found that employees in open-plan offices spend 73% less time in face-to-face interactions. Email and messaging use shot up by over 67%.
    Employees in open-plan offices spend 73% less time in face-to-face interactions. Email and messaging use shot up by over 67%
    The study is the first to track the impacts of open-plan offices using objective measures of communication. It used electronic badges and microphones to monitor interactions among employees and tracked changes in email use.
    The findings build on previous research, which has found, for instance, open-plan work environments compromise employees’ ability to focus and concentrate on their work.

     

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    Lien du Blog Section CFDT PSA Vélizy : http://cfdt-psa-velizy.eklablog.fr/

     

    Lien CFDT Cadres : https://www.cadrescfdt.fr/

     

     

     

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